Différences entre versions de « Peine Perdue (GF) »
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== Texte == | == Texte == | ||
| + | De ce tourbillon où souffle<br />De bouches innommées<br />Un destin si unique<br />Hélas fou<br />Crispés à leur peur<br />Passivement abandonnés<br />Ils crient<br /><br />Plus rien ne se distingue de ce tournoiement<br />Affolé, déroulé<br />Des images brassées de leurs oeuvres<br />S'engloutissent dans un naufrage<br />Où seule demeure la voie du désespoir<br /><br />Fêlure irrecevable qui<br />Se désarmait face<br />A cette douceur du soir<br />Mélancolique<br />Les ombres exténuées<br />Se sentent à nouveau traquées<br />Elles fuient<br /><br />Plus rien ne se distingue de ce tournoiement<br />Affolé, déroulé<br />Des images brassées de leurs œuvres<br />S'engloutissent dans un naufrage<br />Où seule demeure la voie du désespoir<br /><br />Devenue ligne de fiction<br />Puissance sans forme<br />Déchéance totale de son corps<br />Elle oublie<br />La jouissance s'éclaire<br />Elle en oublie son infirmité Elle vit<br /><br />Et la lancinante menace devient fête<br />Le départ est de nouveau oublié<br />Oublié<br />Oublié ... | ||
== Autour de la chanson == | == Autour de la chanson == | ||
Version du 29 novembre 2011 à 20:49
| Peine Perdue | |
| Chanson par Guerre Froide extrait de l’album Demain Berlin | |
| Sortie | 1981 |
|---|---|
| Auteur | Yves Royer |
| Compositeur | Guerre Froide |
| Label | Stechak |
Peine Perdue est une chanson du groupe Guerre Froide,
Texte
De ce tourbillon où souffle
De bouches innommées
Un destin si unique
Hélas fou
Crispés à leur peur
Passivement abandonnés
Ils crient
Plus rien ne se distingue de ce tournoiement
Affolé, déroulé
Des images brassées de leurs oeuvres
S'engloutissent dans un naufrage
Où seule demeure la voie du désespoir
Fêlure irrecevable qui
Se désarmait face
A cette douceur du soir
Mélancolique
Les ombres exténuées
Se sentent à nouveau traquées
Elles fuient
Plus rien ne se distingue de ce tournoiement
Affolé, déroulé
Des images brassées de leurs œuvres
S'engloutissent dans un naufrage
Où seule demeure la voie du désespoir
Devenue ligne de fiction
Puissance sans forme
Déchéance totale de son corps
Elle oublie
La jouissance s'éclaire
Elle en oublie son infirmité Elle vit
Et la lancinante menace devient fête
Le départ est de nouveau oublié
Oublié
Oublié ...